Discipline récente qui explose aux Etats-Unis, c’est probablement la médecine de la prochaine décennie en France.
La médecine actuelle soigne les maladies quand elles apparaissent.
En amont, la médecine préventive est beaucoup plus productive, en essayant d’éviter leur survenue, par une meilleure hygiène de vie, les vaccinations et la correction des facteurs de risque par exemple.
Encore plus en amont, la médecine prédictive cherche à découvrir dans les gènes de chacun les maladies qu’une personne aura plus de risque de développer dans sa vie. A partir d’un échantillon de sang, d’urine ou de salive, les personnes qui commandent des tests ADN peuvent connaître leur prédisposition à certaines maladies. Une start-up d’origine française prévoit même de lancer à l’automne une application iPhone permettant de conserver sur soi une trace écrite de son génome.
De même, ces analyses permettent de savoir si un médicament convient à un malade donné. C’est la médecine personnalisée.
Ces tests sont pour l’instant interdits en France, mais en vente libre sur Internet, et de plus en plus d’Américains y ont recours. Seulement les médecins ne sont pas encore formés pour interpréter les résultats de ces tests, d’autant que leur analyse est complexe, et que la génétique n’est pas le seul élément déterminant dans l’apparition d’une maladie ; l’environnement, l’alimentation et les conditions de vie peuvent avoir un rôle plus important. Par exemple dans le diabète de type 2, l’excès de poids et le manque d’exercice physique sont déterminant dans son apparition.
Le Dr DUBOIS est actuellement en cours de formation.
Il n’y a pas un mésolift, mais des mésolifts.
En effet, selon le type de peau, son aspect, et les résultats que l’on souhaite obtenir, il y a différentes techniques possibles et divers produits sont utilisés :
Injections de produits avec une fine aiguille superficiellement le long des rides et sur toute la surface du visage :
– soit avec un pistolet électronique, micro-papules en Intra Dermo Superficiel, peu douloureux, régulier, bien calibré,
– soit méthode manuelle, la main tenant la seringue pour injecter en micro-papules également, plus adapté aux irrégularités de la peau,
– soit selon la technique Intra EpiDermique (IED), où le produit est finement déposé sur la peau, selon une méthode encore plus douce.
– soit mésolift hydratant et comblant, par l’acide hyaluronique non réticulé pur,
– soit mésolift nourrissant, comportant un mélange nutritif et revitalisant pouvant comporter, suivant le patient, des vitamines, des minéraux, des vasodilatateurs, des acides aminés, des oligoéléments,
– soit mixte.
– en traitement d’attaque : 3 à 4 séances espacées de 8 à 15 jours, puis
– en traitement d’entretien : une séance tous les 3 à 4 mois, soit 3 à 4 séances par an
L’association avec un masque à la vitamine A acide thermo actif, appelé mésomasque polyvitaminé, est excellente car elle optimise et potentialise les résultats. Le masque est posé juste avant le mésolift.
Il dépendent de l’indication. Le Mésolift est indiqué surtout pour les peaux fines, sèches, atones, les peaux asphyxiées des fumeurs et les hyperpigmentations. Dans ces cas, le résultat est merveilleux, la peau se recolore, le teint prend de l’éclat, les ridules s’atténuent.
La durée de l’intervention est de 20 mn. D’autres protocoles se pratiquent en association avec les masques à la vitamine A acide ; la pose préalable d’un masque polyvitaminé thermo actif demande 20 mn de plus.
Le mésolift ne comporte que des produits naturels. Il prévient le vieillissement du visage et traite l’état de la peau (coup d’éclat). A renouveler pour entretenir les bons résultats.
Le coût d’une séance de mésolift varie de 60 à 160 €, plus 40 € pour le masque préalable éventuel.
C’est l’association du mésolift au peeling superficiel par masque thermique.
Cela permet une potentialisation du mésolift car le masque thermique facilite l’accélération des produits mis en aval en créant une vasodilatation cutanée.
Grâce au masque que l’on placera avant les soins, les effets sont plus durables et majorés par une meilleure diffusion et pénétration des produits.
On utilisera de préférence un masque polyvitaminé contenant des substances antioxydantes et anti radicaux libres. Le mésolift sera fait juste après le masque pour une meilleure efficacité et pénétrabilité.
Cette association nous permet de parler véritablement de rejuvénation et de soins anti-âge.
D’autres soins pourront se faire après le masque comme un peeling ou une crème anti-ride.
Ce masque pourra se faire :
– seul pour une action anti-oxydante et anti-âge (1 fois par mois)
– ou bien avant un mésolift ou un peeling (1 fois tous les 3 mois) pour un effet potentialisateur (cf étude cinétique du Mésomasque in Bonnet C, Mrejen D, Perrin J-J. La mésothérapie en médecine esthétique et médecine générale. Mésodiffusion. Limay 2003).
Le prix du mésomasque varie de 150 à 250 €.
L’appareil dont est doté le cabinet médical est reconnu par tous les professionnels comme étant un des meilleurs du marché, et parmi les plus sécuritaires. Cette lampe flash (IPL = Intense Pulse Light) a l’efficacité d’un laser. Elle permet de traiter tous les types de peau, y compris les peaux mates, foncées et noires en toute sécurité.
Pour une épilation, le nombre de séance est en général de 6 (pouvant varier de 4 à 8), à raison de 1 séance tous les 1 à 2 mois environ. 90 % des poils sont enlevés en 6 séances sur ce type de machine, parmi les les plus évoluées.
Les meilleurs résultats s’obtiennent avec des poils épais et bruns sur une peau claire, car plus le poil est fin (duvet) plus la lumière aura du mal à atteindre le bulbe et à le détruire. Les poils clairs ne propageront pas la lumière jusqu’au bulbe.
Pour traiter les taches rouges ou les taches brunes (taches pigmentaires), la couperose, l’acné inflammatoire, ou pour la réjuvénation (photo-rajeunissement), il suffit en général de 2 séances.
– épilation lèvre supérieure ou menton : 50 euros
– épilation aisselles : 80 euros
– épilation maillot classique/brésilien (échancré)/intégral : 90/120/150 €
– épilation demi-jambes : 180 euros
Il ne s’agit là que de tarifs indicatifs. Tout cela sera personnalisé avec votre médecin qui vous ajustera les tarifs en fonction des surfaces traitées et du temps passé.
Sur notre planète, un milliard de personnes souffrent de malnutrition tandis qu’un autre milliard est malade de trop manger. Le surpoids est un problème de santé publique en France, co-facteur responsable de nombreuses maladies, handicaps et décès. De nombreuses personnes en meurent, l’équivalent d’un Boeing qui s’écraserait chaque jour.
Des solutions existent pour nous aider à mieux nous alimenter, et perdre sans contrainte nos kilos en trop, qu’ils soient diffus ou localisés. La cellulite en est une des manifestations chez la femme, pas toujours synonyme d’excès de poids. Un drainage peut être facilité par des techniques de mésothérapie, quasi-indolore avec de fines aiguilles, voire totalement sans douleur si l’on utilise la méthode IED (Intra-EpiDermique). Ce drainage pourra être le prélude à une mésocellulite de la graisse, surtout adaptée aux excès de graisse circonscrits. Une activité physique régulière adaptée à ses possibilités et celle de notre emploi du temps est indispensable.
Sans bouleverser les habitudes alimentaires, un accompagnement permettra une prise de conscience progressive de la nécessité de diversifier progressivement son alimentation.
Une alimentation sélectionnée, riche en antioxydants, participe à la prévention des cancers.
Le syndrome d’hyperperméabilité intestinale (Leaky gut syndrom) sera traité par la rotation des aliments, les probiotiques et l’éviction des aliments responsables de certaines intolérance alimentaires. Une simple prise de sang permettra de les découvrir. C’est l’immunonutrition. De nombreux symptômes chroniques, digestifs ou non, tels que migraines, colopathies fonctionnelles, gastralgies, diarrhées, constipation, etc. qui n’ont jamais fait la preuve de leur origine, trouvent souvent leur explication dans ces intolérances.
En France, environ 80 % des femmes sont carencées en vitamine D. Le savent-elles ? Qui s’en préoccupe ? Ces carences peuvent être responsables d’ostéoporose, favoriser certains cancers (colon, prostate, sein). C’est une véritable hormone (stéroïde) avec des sites d’action intestinaux, osseux, seins, prostate, ovaires, poumons… Elle joue un rôle probable dans le diabète, l’immunité, le risque cardio-vasculaire. Le dépistage est pourtant simple, peu couteux, et remboursé par la sécurité sociale. Quant au traitement, il coûte 3,64 € par an, remboursé sécu !
Toujours en France, qui est au courant de l’intolérance au lactose ? Elle atteint pourtant environ 30 % de nos concitoyens. Là encore, le traitement est aisé, sans médicaments.