Sur notre planète, un milliard de personnes souffrent de malnutrition tandis qu’un autre milliard est malade de trop manger. Le surpoids est un problème de santé publique en France, co-facteur responsable de nombreuses maladies, handicaps et décès. De nombreuses personnes en meurent, l’équivalent d’un Boeing qui s’écraserait chaque jour.
Des solutions existent pour nous aider à mieux nous alimenter, et perdre sans contrainte nos kilos en trop, qu’ils soient diffus ou localisés. La cellulite en est une des manifestations chez la femme, pas toujours synonyme d’excès de poids. Un drainage peut être facilité par des techniques de mésothérapie, quasi-indolore avec de fines aiguilles, voire totalement sans douleur si l’on utilise la méthode IED (Intra-EpiDermique). Ce drainage pourra être le prélude à une mésocellulite de la graisse, surtout adaptée aux excès de graisse circonscrits. Une activité physique régulière adaptée à ses possibilités et celle de notre emploi du temps est indispensable.
Sans bouleverser les habitudes alimentaires, un accompagnement permettra une prise de conscience progressive de la nécessité de diversifier progressivement son alimentation.
Une alimentation sélectionnée, riche en antioxydants, participe à la prévention des cancers.
Le syndrome d’hyperperméabilité intestinale (Leaky gut syndrom) sera traité par la rotation des aliments, les probiotiques et l’éviction des aliments responsables de certaines intolérance alimentaires. Une simple prise de sang permettra de les découvrir. C’est l’immunonutrition. De nombreux symptômes chroniques, digestifs ou non, tels que migraines, colopathies fonctionnelles, gastralgies, diarrhées, constipation, etc. qui n’ont jamais fait la preuve de leur origine, trouvent souvent leur explication dans ces intolérances.
En France, environ 80 % des femmes sont carencées en vitamine D. Le savent-elles ? Qui s’en préoccupe ? Ces carences peuvent être responsables d’ostéoporose, favoriser certains cancers (colon, prostate, sein). C’est une véritable hormone (stéroïde) avec des sites d’action intestinaux, osseux, seins, prostate, ovaires, poumons… Elle joue un rôle probable dans le diabète, l’immunité, le risque cardio-vasculaire. Le dépistage est pourtant simple, peu couteux, et remboursé par la sécurité sociale. Quant au traitement, il coûte 3,64 € par an, remboursé sécu !
Toujours en France, qui est au courant de l’intolérance au lactose ? Elle atteint pourtant environ 30 % de nos concitoyens. Là encore, le traitement est aisé, sans médicaments.